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02 fév. 22h10
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Nouvelle contribution à Se nourrir
Promouvoir les métiers de la Terre
Les agriculteurs partent en masse en retraite. Comme à l'école ces 40 dernières années, le métier d'agriculteur n'a pas été mis en avant DU TOUT, aujourd'hui il n'y a pas de repreneurs. Les terres sont rachetées par des investisseurs pour la spéculation. Prenons donc ce temps de passations de fermes pour ajuster nos modes de production : inclure des nouvelles pratiques, respectueuses et productives. Travailler la terre est un métier plaisant pour beaucoup d'être humain, tout simplement parce que NOUS SOMMES la nature. Je pense que beaucoup de chômeurs pourraient s'épanouir en prenant soin des terres. Mais pour attirer des personnes à revenir à la terre, il faut que les agriculteurs puissent vivre correctement de leurs productions (sans passer par les primes), sans se tuer au travail. Rééquilibrer tout cela demande un travail de fond : - former beaucoup de gens - valoriser les savoir-faire de la permaculture, qui permettent à la nature de se régénérer tout en étant productif. - inclure la production de nourriture dans les cursus scolaires. - de mettre en place des lois favorisant le marché des productions locales. En effet, nous sommes 7 milliards, il;est inconcevable qu'il n'y ait pas d'échanges internationaux. MAIS tout ce qui concerne la survie directe ne devrait pas dépendre d'entreprises éloignées. La France est en position d'exemple. La seule chose à faire : REAPPRENDRE. Faisons-le avant que famine nous tombe dessus.
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02 fév. 22h10
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02 fév. 21h45
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Nouvelle contribution à Contributions transversales
Ecole : collaborations, initiatives, et prendre en compte les réalités du corps
J'ai 43 ans à ce jour, et, à ma connaissance, en milieu scolaire il n'y a pas (ou de manière insignifiante) d'apprentissage concernant : - La collaboration. Or, nos incapacités à communiquer correctement, à tous les niveaux, créent la lourdeur, les conflits, les résignations. C'est en apprenant à travailler ensemble que nous pourrons construire et reconstruire, penser et agir, en adéquation avec la nature humaine, nos besoins fondamentaux et les réalités des écosystèmes. - La prise d'initiative. A l'école, on nous apprend à être passif. Il y a certes du travail de compréhension et restitution... mais pas de place à la "prise d'initiative". Nous ne pouvons pas être des citoyens actifs et utiles si nous n'avons pas appris à prendre des décisions, à être force de proposition. Ajouter à cela le fait d'être forcer à être assis toute son enfance et adolescence... Nos organismes ne sont alors pas prêts à VIVRE, à évaluer , à ajuster, à écouter, à entreprendre. - l'activité physique Nous sommes des êtres de mouvements. Aujourd'hui nous sommes sclérosés par l'immobilité. Décoordonnés. Atrophiés. Se tenir droit sans effort, se mouvoir de manière fluide et puissante, ça s'apprend aussi. C'est nécessaire pour l'efficacité du pays. Cela est d'autant plus vital que les conditions de vie sur Terre sont incertaines, nous devons être au top de nos possibilités pour pouvoir nous adapter aux surprises des prochaines décennies.
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02 fév. 21h28
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Nouvelle contribution à Travailler et produire
Productivité grâce à l'épanouissement individuel
Les potentiels humains sont immenses. Et pour savourer, exploiter, bénéficier de ces potentiels, nous devons bien entendre que nous ne sommes pas des machines. Il a été démontré aux Etats-Unis que le pays perd des milliards de dollars à cause de ces incohérences entre postes et employés. En France, on approche les 15 % de travailleurs, qui sont fatigués du matin au soir TOUS LES JOURS. Il est grand temps que nous nous organisions pour que le travail soit un temps de de déploiement individuel, au service de la productivité. Ramasser les poubelles peut être fait avec joie, puissance, et efficacité... tant que la personne est prédisposée à faire ce travail et qu'elle se sent utile. Aussi longtemps que l'argent sera la priorité des entreprises, le monde s'effondrera. C'est en remettant "les meilleures qualités de CHACUN" au cœur des décisions, que les entreprises prospéreront. En quoi cela est-ce utile pour le climat ? Ce n'est pas en ayant la tête dans le guidon, en fonçant tête baissée et en serrant les dents que nous trouverons des solutions et changeront nos comportements. C'est en étant équilibrés, le cortex préfrontal allumé, que nous trouverons l'énergie et les idées pour prendre le virage salvateur.